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La lettre du Guide du Ciel

N° 79 | 9 octobre 2013

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Guillaume Cannat

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Lorsque l’été s’achève
Que la chaleur s’épuise
Et que les nuits frémissent
Monte en moi comme une sève
Un impérieux désir d’étoiles
Je guette le bleu du jour
J’étire mes sens
Je goûte l’air lointain
Puis je m’élance
Franchissant les masses brunes aveuglantes
Grimpant aussi haut que me l’offrent les Cévennes
Jusqu’aux herbes jaunies des landes bourdonnantes
Jusqu’aux cascades lumineuses de la nuit souveraine


Pises-triptyque

Triptyque cévenol - Nuit du 3 au 4 septembre 2013

© Guillaume Cannat

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DES RENDEZ-VOUS AVEC OU SANS INSTRUMENT

Octobre-novembre | Observez la Station spatiale internationale... et la station chinoise Tiangong 1

iss
De nombreux passages de la Station spatiale internationale (ISS) sont observables en début de nuit jusqu'à la fin du mois d'octobre, puis la station reviendra à l'aube à partir du 10 novembre en France métropolitaine. Il faut ensuite attendre quelques jours pour retrouver ISS en début de nuit.
© NASA



 

De nombreux passages de la Station spatiale internationale (ISS) sont observables en début de nuit jusqu'à la fin du mois d'octobre, puis la station reviendra à l'aube à partir du 10 novembre en France métropolitaine. Il faut ensuite attendre quelques jours pour retrouver ISS en début de nuit.

L'éclat de l'ISS est suffisamment puissant lors des meilleurs passages pour qu'elle soit visible dans un ciel bleu avant même le coucher du Soleil ou peu après son lever ; le site Heavens-Above annonce également ce genre de passages.

L'embryon de la future station spatiale chinoise, Tiangong 1, n'est pas visible en plein jour, mais vous pouvez la voir passer dans un ciel crépusculaire sans instrument. Elle survole la France à l'aube jusqu'au 18 octobre, puis revient en soirée à la fin du mois et en novembre.

Pour savoir précisément où et quand observer les survols de l'ISS ou de la station chinoise, consultez le site Heavens-above. En vous inscrivant (c’est gratuit), vous pouvez mémoriser des points d'observation différents et obtenir rapidement des cartes et des horaires de passage très précis.

Heavens-Above
Aide en ligne pour vous inscrire sur le site Heavens-Above

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En octobre | C'est l'heure d'Uranus

oct
Début octobre 2013, lancez-vous à la recherche de la discrète Uranus dans les Poissons. La septième planète du système solaire brille à la limite de la visibilité à l’œil nu et il est envisageable de la repérer dans un ciel sans Lune préservé d’une trop forte pollution lumineuse.

La septième planète du système solaire passe à l’opposition au début du mois d’octobre et se lève au coucher du Soleil pour rester toute la nuit dans le ciel.

Toujours installée dans la vaste figure des Poissons, Uranus franchit le méridien en milieu de nuit, à plus de 45 degrés de hauteur. Elle flotte donc loin des zones les plus dégradées par la pollution lumineuse et vous pouvez plus facilement vous lancer à sa recherche dans un site offrant un ciel sans Lune le plus noir possible.

Commencez par attendre au moins un quart d’heure dans l’obscurité pour laisser votre vision nocturne s’installer, car elle est bien plus sensible que la vision diurne. Il n’y a pas beaucoup d’étoiles brillantes dans cette portion de la voûte céleste, je vous suggère donc d’utiliser Delta Piscium comme point d’appui ; elle est de quatrième magnitude et se situe actuellement à quelque 5 degrés au-dessus et légèrement à gauche d’Uranus.

Essayez de voir Uranus à l’œil nu en ne regardant pas droit vers l’endroit où vous savez qu’elle se situe, mais juste à côté. Vous solliciterez ainsi la zone périphérique de votre rétine, qui est bien plus sensible que le centre en vision nocturne.


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7 et 8 octobre | Vénus passe sous le croissant

7oct
Lundi 7 et mardi 8 octobre 2013, au crépuscule, une heure après le coucher du Soleil, la jeune Lune fête son arrivée dans le ciel en s’approchant de Vénus. Les deux astres sont à près de 5 degrés de hauteur.

Le lundi 7 et le mardi 8, au crépuscule, une heure après le départ du Soleil, le croissant de la jeune Lune s’avance à la rencontre de Vénus.

Les deux astres sont à près de 5 degrés de hauteur au-dessus de l’horizon sud-ouest, ce qui n’est pas très élevé, mais ils sont suffisamment brillants pour percer l’éclat du voile crépusculaire coloré.

L’inclinaison de l’écliptique nous a empêchés de voir Séléné juste après la Nouvelle Lune et c’est donc un arc déjà épais qui se présente lundi soir à près de 11 degrés sur la droite de Vénus.

Mardi soir, le croissant a pratiquement doublé d’épaisseur et vous le verrez exactement à l’aplomb de Vénus, quelque 4 degrés plus haut. Ces deux soirs, la lumière cendrée est parfaitement visible à l’œil nu.


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15 octobre | Une brillante étoile double

15oct
Mardi 15 octobre 2013, à l’orée de l’aube, une heure et demie avant le lever du Soleil, jetez un regard attentif à la paire éphémère formée par Régulus et Mars. Ce couple est visible à plus de 30 degrés de hauteur au-dessus de l’horizon est-sud-est.



Le mardi 15 octobre, à l’orée de l’aube, Mars et Régulus forment une magnifique étoile double visuelle loin au-dessus de l’horizon est-sud-est.

Leur séparation apparente est inférieure à 1 degré et l’éclat de l’étoile est juste un peu plus fort que celui de la planète.

Le contraste de couleur est intense, même à l’œil nu : Régulus apparaît d’un blanc très pur alors que Mars est vivement orangée.

Ce faux couple éphémère est là pour nous rappeler que l’astre que nous nommons Régulus est en fait un système stellaire quadruple dont l’étoile principale est une géante 3,4 fois plus massive que le Soleil, affichant un diamètre équatorial de 6 millions de kilomètres et un éclat intrinsèque 350 fois plus puissant que celui de notre étoile !

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16 octobre | Sous l'éclat de Vénus

16oct
Mercredi 16 octobre 2013, au crépuscule, une heure après le coucher du Soleil, Vénus est visible à moins de 1,5 degré d’Antarès du Scorpion. Ce couple domine l’horizon sud-ouest de 5 degrés.

Le mercredi 16 octobre, au crépuscule, une heure après le départ du Soleil, vous pouvez admirer les scintillations colorées d’Antarès du Scorpion juste sous l’éclat diamanté de Vénus.

À peine plus écarté que la paire matinale Mars-Régulus, ce couple planéto-stellaire vaut également le détour. Il est visible dans le ciel encore clair et coloré du crépuscule nautique, à près de 5 degrés de hauteur au-dessus de l’horizon sud-ouest.

Vénus approche de son Dernier Quartier et son diamètre apparent grandit, ce qui explique l’augmentation régulière de sa brillance. Antarès est visible à l’œil nu à 1,5 degré d’écart et, si vous pouvez utiliser des jumelles pour observer ce rendez-vous, vous remarquerez le petit point discret d’une autre étoile du Scorpion tout contre Vénus.

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Nuit du 18 au 19 octobre | Éclipse partielle de Lune

18oct
Au cours de la nuit du vendredi 18 au samedi 19 octobre 2013, la Pleine Lune est partiellement éclipsée par la pénombre de la Terre. Le maximum est visible un peu avant 2 heures du matin, à plus de 50 degrés de hauteur au-dessus de l’horizon sud.


Au cours de la nuit du vendredi 18 au samedi 19 octobre, la Pleine Lune traverse la zone de pénombre qui enveloppe le cône d’ombre de notre planète et il se produit une éclipse partielle.

Sans être spectaculaire, ce phénomène est observable à l’œil nu car il se traduit par une légère perte de luminosité de la face lunaire durant l’éclipse. Un contraste plus ou moins fort devrait donc apparaître entre les régions polaires australes et boréales de notre satellite, ses dernières demeurant à l’extérieur de la pénombre.

L’entrée dans la pénombre débute un peu avant minuit, heure de votre montre, par le quart sud-ouest ; le maximum se produit à 1 h 50 lorsque notre satellite culmine à plus de 50 degrés de hauteur, et cette éclipse partielle prend fin à 3 h 50, au niveau du quart sud-est.



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25 et 26 octobre | Dans l’Hexagone d’hiver

25oct
Vendredi 25 et samedi 26 octobre 2013, à l’orée de l’aube, soit un peu moins de deux heures avant le lever du Soleil, la Lune et Jupiter se rencontrent au méridien, dans la partie supérieure de l’Hexagone d’hiver.


Le vendredi 25 et le samedi 26 octobre, en fin de nuit, deux heures avant le lever du Soleil, le ciel d’hiver peuple le bol nocturne.

Au-dessus de l’horizon sud, l’Hexagone d’hiver, une figure semblable au Triangle de l’été, qui réunit les étoiles Sirius du Grand Chien, Rigel d’Orion, Aldébaran du Taureau, Capella du Cocher, Pollux des Gémeaux et Procyon du Petit Chien, héberge la Lune à l’approche de son Dernier Quartier et l’éclat éblouissant de Jupiter.

La planète surclasse largement Sirius, l’étoile la plus brillante de la sphère céleste, mais elle se situe à moins de 1 milliard de kilomètres de nous quand l’étoile du Grand Chien est enfoncée de 8,6 années-lumière dans le ciel, soit plus de 81 000 milliards de kilomètres !

La différence d’éclat en faveur de Jupiter n’est donc qu’apparente et nous rappelle que la magnitude visuelle d’un astre ne nous apprend rien sur son importance réelle.

Vendredi soir, la très brillante et très proche Lune est à près de 10 degrés sur la droite de la planète et, samedi, nous la retrouvons peu avant son Dernier Quartier à près de 7 degrés sous elle.

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29 et 30 octobre | Une voisine entre Mars et la Lune

29oct
Mardi 29 et mercredi 30 octobre 2013, à l’orée de l’aube, moins de deux heures avant l’arrivée du Soleil, le Lion et Mars accueillent le croissant de la Lune vieillissante pour la seconde fois du mois. La rencontre se produit loin au-dessus de l’horizon est-sud-est.

Le mardi 29 et le mercredi 30 octobre, à l’orée de l’aube, moins de deux heures avant le lever du Soleil, retrouvez le Lion loin au-dessus de l’horizon est-sud-est.

Mars continue sa migration vers l’est de cette figure hiératique et le croissant lunaire revient lui rendre une lointaine visite. Mardi, il est encore épais et brille intensément à près de 6 degrés sur la droite de Régulus.

Mercredi, il chute de 12 degrés vers l’horizon et maigrit un peu, mais la lumière cendrée s’accentue.

Pratiquement à mi-distance entre la Lune et Mars se trouve une étoile invisible à l’œil nu, appelée Wolf 359. Il s’agit d’une naine rouge à peine plus volumineuse que Jupiter, un astre insignifiant donc, mais qui a pourtant retenu l’attention des astronomes car c’est l’une des étoiles les plus proches de nous.

À 7,7 années-lumière, elle vient en troisième position, derrière le groupe de Proxima et Alpha A et B du Centaure, à un peu plus de 4,2 années-lumière, et l’étoile de Barnard dans Ophiuchus, à un peu moins de 6 années-lumière.

Il faudrait un télescope d’un bon diamètre pour deviner cette petite bille rougeâtre ; pourtant, même sans la voir, je ne manque jamais de la saluer lorsque mes yeux s’égarent dans cette portion de la voûte nocturne.

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2 novembre | La Lune occulte/frôle Spica

2nov
Samedi 2 novembre 2013, à l’aube, une heure avant le lever du Soleil, la Lune occulte Spica dans le nord de la France et la frôle dans le Sud. La scène est visible juste au-dessus de l’horizon est-sud-est et l’utilisation d’un instrument promet des minutes exceptionnelles.

Le samedi 2 novembre, à l’aube, une heure avant le lever du Soleil, tenez-vous prêt pour un spectacle saisissant : Spica va être occultée par le globe lunaire ou, selon votre position géographique, elle va surfer le long du limbe austral de notre satellite !

Dans le nord de la France, l’étoile principale de la Vierge est occultée à l’instant du lever du mince croissant lunaire, alors que, dans le sud du pays, les deux astres se lèvent côte à côte et se frôlent en grimpant dans le ciel.

Un peu plus de 30 heures avant la Nouvelle Lune, l’arc de notre satellite est d’une finesse extrême, mais il est encore visible à l’œil nu.

Au commencement du crépuscule nautique, c’est-à-dire lorsque le disque solaire est encore à 12 degrés sous l’horizon, les deux astres sont, eux, à moins de 3 degrés de hauteur au-dessus de l’est-sud-est.

Il convient donc de choisir judicieusement son site d’observation, quitte à effectuer un repérage la veille afin de s’assurer que vous pourrez repérer la Lune dès son lever avec l’étincelle de Spica tout contre elle ou déjà cachée.

L’occultation dure au maximum une demi-heure ; le passage au ras du limbe est plus court, mais il est encore plus spectaculaire.



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Les rendez-vous à venir...

 


point
3 novembre : une éclipse hybride de Soleil
point 6 et 7 novembre : Vénus dans la Voie lactée
point Nuit du 21 au 22 novembre : deux caravelles traversent la nuit
point 26 novembre : planète double au levant
point D'autres conjonctions et d'autres phénomènes astronomiques
se produisent tout au long du mois à venir, retrouvez-les en détails dans Le Ciel à l'œil nu en 2013 et dans Le Guide du Ciel 2013-2014
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LA COMÈTE ISON ARRIVE !
Toutes les informations sur la comète ISON
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ISON, le 7 octobre (Nouveau-Mexique).
Télescope de 450 mm
Caméra CCD PL6303e
Pose : 5 minutes
© Rolando Ligustri

 

La comète ISON arrive et, pour le moment, elle se comporte pratiquement comme prévu.

Elle commence à être visible dans les instruments d'amateur, à partir de 100 mm de diamètre, en fin de nuit, non loin de la planète Mars.

Je vous invite à consulter régulièrement la lettre spéciale que je lui consacre et que je mets à jour le plus régulièrement possible pour en savoir plus.

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REPORTAGE PHOTO
Triptyque cévenol
La nuit du mardi 3 au mercredi 4 septembre reste gravée dans ma mémoire comme l’une des plus belles de ces dernières années. Après une longue période de chaleur et avant l’arrivée des pluies automnales, un ciel d’une pureté incroyable a surplombé toute la France si j’en juge par la qualité des images réalisées cette nuit-là par d’autres astrophotographes éparpillés dans l’hexagone.

Si vous lisez ma lettre depuis plusieurs années, vous avez sans doute remarqué que j’ai des périodes un peu monomaniaques durant lesquelles je me consacre essentiellement à un type d’image. Il y a deux ans, c’étaient les portraits de la Pleine Lune et, depuis, quelques mois, je joue avec les reflets stellaires dans les lacs et les étangs. C’est un jeu qui demande des conditions très particulières qui sont rarement réunies. Il faut un site en altitude, un ciel limpide, une pollution lumineuse limitée, une nuit sans Lune et, c’est l’élément le plus rare, une absence totale de vent pour que la surface de l’eau se comporte comme un miroir. Durant une paire d’heures, au crépuscule, la nuit du 3 au 4 septembre m’a offert toutes ces conditions.

J’avais préparé ma soirée en choisissant un joli petit lac situé à près de 1 300 m d’altitude dans les Cévennes, le lac des Pises, à côté duquel se situe le célèbre observatoire des Pises. Arrivé en milieu d’après-midi, j’ai transporté tout mon barda photographique jusqu’au point que j’avais repéré grâce à Google Earth qui me permettrait, quelques heures plus tard, de voir la Voie lactée érigée juste devant moi.

Je vous présente trois des mosaïques que j’ai réalisées cette nuit-là ; elles sont rassemblées dans une sorte de triptyque montrant le redressement de la Voie lactée du crépuscule au milieu de la nuit. Toutes ces mosaïques sont constituées de trois images horizontales obtenues avec un objectif Nikon 14-24 mm utilisé à 14 mm et un boîtier Nikon D700 défiltré par Richard Galli et Emmanuel Rietsch. Les images on été assemblées avec autopano giga.

Le temps de pose de chaque image est de 2 minutes avec un entraînement équatorial motorisé pour compenser parfaitement la rotation de la Terre (Astrotrac) ; j’ai juste ouvert un peu le diaphragme (de 3,5 à 3,2) et augmenté la sensibilité d’une mosaïque à l’autre (640, 1 250 et 2 000 ISO) pour profiter du ciel de plus en plus noir.

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© Images : Guillaume Cannat

La première mosaïque a été réalisée alors que le Soleil se situait à seulement 13 degrés sous l’horizon. C’est ce qui explique la coloration bleutée du ciel encore crépusculaire qui se reflétait magnifiquement dans l’eau presque immobile du lac des Pises. Les restes d’un radeau disloqué sont au premier plan.

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La deuxième mosaïque marque l’arrivée du Soleil à 18 degrés sous l’horizon et donc la fin du crépuscule astronomique. La pollution lumineuse du littoral méditerranéen est flagrante, mais il y avait très peu de poussières en suspension et d’humidité, donc la diffusion était très faible et l’impact des halos orangés était limité.

nuit

Deux heures plus tard, la troisième mosaïque grimpe jusqu’au zénith, au-delà de Deneb du Cygne et de la nébuleuse de l’Amérique du Nord. Les halos de pollution lumineuse sont un peu moins envahissants, malgré l’augmentation de la sensibilité. Une petite rafale de vent a troublé la surface du lac et flouté les reflets stellaires, sauf au premier plan où les rondins ont bloqué les ondulations de l’eau.
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SUR LA TOILE

Des infos sur...

 

Activité solaire et phénomènes atmosphériques et astronomiques
Spaceweather est LE site qu'il faut avoir dans son carnet d'adresse et auquel il faut rendre visite chaque jour pour voir les dernières images du ciel prises par des amateurs sur toute la planète et des infos chiffrées sur l'activité de notre étoile.
http://www.spaceweather.com/

Dernières comètes découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec tous les éléments orbitaux et les éphémérides des comètes potentiellement observables.
http://minorplanetcenter.org/iau/Ephemerides/Comets/index.html

Dernières novae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières novae.
http://www.cbat.eps.harvard.edu/Headlines.html

Dernières supernovae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières supernovae.
http://www.cbat.eps.harvard.edu/Headlines.html

Occultations d'étoiles par des astéroïde
Le site tenu à jour par Éric Frappa, vous dit tout ce qu'il faut savoir pour observer ces phénomènes.
http://www.euraster.net/

 
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Infos

Sources :
Le Guide du Ciel 2013-2014 (amds),
Le Ciel à l'œil nu en 2013 (Nathan).

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© Guillaume Cannat | Octobre 2013