La lettre du Guide du Ciel

N° 45 | 8 septembre 2010

Si vous lisez cette lettre régulièrement, n'oubliez pas qu'elle ne constitue qu'un complément à mes différents ouvrages. Si vous ne les connaissez pas déjà, je vous invite à les découvrir sur le site d'amds édition.

La plupart des textes, des illustrations, des cartes et des schémas qui suivent sont extraits du Ciel à l'œil nu (Nathan) et du Guide du Ciel (amds), deux livres annuels dans lesquels vous trouverez encore plus de renseignements pratiques et de phénomènes à admirer et que je vous invite à découvrir et à faire découvrir à vos proches !

La Station spatiale internationale (ISS) est observable en France métropolitaine jusqu'à la mi-septembre une à deux fois par jour en début de nuit. Elle revient ensuite au début du mois d'octobre dans le ciel de l'aube.

La Station spatiale internationale (ISS) est observable en France métropolitaine jusqu'à la mi-septembre une à deux fois par jour en début de nuit. Elle revient ensuite au début du mois d'octobre dans le ciel de l'aube.

L'éclat de l'ISS est suffisamment puissant lors des meilleurs passages pour qu'elle soit visible dans un ciel bleu avant même le coucher du Soleil ou peu après son lever ; le site Heavens-Above annonce également ce genre de passages.

Pour savoir précisément où et quand observer les survols de l'ISS, consultez le site Heavens-above. En vous inscrivant (c’est gratuit), vous pouvez mémoriser des points d'observation différents et obtenir rapidement des cartes et des horaires de passage très précis. Le site d’Alphonse Pouplier donne aussi des horaires de passages :

Le site d'Alphonse Pouplier
Heavens-Above
Aide en ligne pour vous inscrire sur le site Heavens-Above

10 et 11 septembre | Au ras de l’horizon occidental

Il est frustrant de constater que Vénus se situe à plus de 43° du Soleil, mais que nous ne pouvons pas en profiter car l’inclinaison exagérée de l’écliptique la plaque contre l’horizon dans le ciel crépusculaire.

Le vendredi 10 et le samedi 11 septembre, son rapprochement avec le mince croissant du début de la lunaison est ainsi particulièrement délicat à contempler en Europe, alors que, sous les tropiques, il est somptueux.

Si vous demeurez aux latitudes tempérées de l’hémisphère Nord, vous aurez sans doute un peu de peine à repérer l’arc sélène du 10 septembre car il se couche moins d’une demi-heure après le départ du Soleil.

Fort heureusement, Vénus est tout de même un peu mieux placée et vous pouvez l’admirer à près de cinq degrés de hauteur dans le ciel encore clair, au tout début du crépuscule nautique.

Samedi 11, le diadème de Séléné est à moins de trois degrés sur sa gauche et la lumière cendrée fait délicatement luire sa face nocturne. Dans un ciel limpide, le plongeon synchronisé de ce couple dans le magma crépusculaire devrait réveiller votre fibre poétique.

Du 18 au 20 septembre | Mercure au sommet de l’aube

Du samedi 18 au lundi 20 septembre, une heure avant l’envol de l’oiseau solaire, Mercure atteint le sommet de sa trajectoire en cloche dans le ciel de l’aube.

La planète apparaît peu après le 12 septembre au ras de l’horizon est, mais son éclat est encore très faible et il faut un ciel d’une limpidité remarquable pour parvenir à la repérer ; l’utilisation de jumelles peut faciliter vos recherches.

Heureusement, sa hauteur et son éclat croissent quotidiennement jusqu’au samedi 19 ; elle culmine alors à plus de cinq degrés quand le Soleil est encore à près de douze degrés sous l’horizon.

Au cours des jours qui suivent, l’augmentation de sa brillance se poursuit, mais la planète retombe vers le Soleil et son observation devient plus délicate, même si, dans les très bons sites, il est encore envisageable de la distinguer jusqu’à la fin du mois.

Il s’agit de l’une des meilleures occasions de l’année pour admirer la première planète du système solaire. Mon unique regret est qu’aucun petit croissant lunaire du matin ne vienne flirter avec elle et embellir ce paysage céleste.

22 et 23 septembre | Lune et Jupiter, un lever d’opposition

Le mercredi 22 septembre, au lendemain de son opposition, Jupiter se hisse au-dessus de l’horizon oriental alors que le disque solaire roule sous l’horizon occidental.

Une vingtaine de minutes après, alors qu’elle se situe déjà à plus de trois degrés de hauteur, elle étincelle au sein de la bande sombre de l’arche anticrépusculaire.

À un peu plus d’une longueur de pouce au-dessus d’elle – sept degrés –, la Pleine Lune domine la scène en bordure de la zone rosée qui surmonte l’ombre de notre planète et que l’on nomme la ceinture de Vénus.

Peu à peu, l’arche grandit et se dilue dans l’assombrissement progressif du bol nocturne. Les deux astres brillent alors magnifiquement, l’éclat de notre satellite gommant pratiquement toutes les étoiles du ciel.

La scène se renouvelle le jeudi 23 au soir, mais, cette fois-ci, la Pleine Lune a basculé à plus de neuf degrés sur la gauche du point jovien.

Si vous le pouvez, pensez également à admirer le coucher de ces deux astres, le jeudi 23, une demi-heure avant le lever du Soleil.

Le lundi 11 octobre au crépuscule, moins d’une heure après la fin du jour, Antarès du Scorpion s’approche à un degré et demi de la corne sud de la jeune Lune.

Une dizaine de degrés séparent ces astres du sud-ouest et le Soleil pérégrine déjà à plus de huit degrés sous l’horizon ouest, le ciel est donc suffisamment sombre pour repérer la rivale de Mars. Le nom Antarès vient du Grec « Anti-Ares » et rappelle la rivalité que nos ancêtres imaginaient entre ces deux astres dont la coloration est assez proche.

Mars, que l’on surnomme la planète rouge, brille en effet d’un éclat rouge orangé plus ou moins marqué en fonction de sa distance et de ses conditions atmosphériques ; elle apparaît plus orange que rouge lorsque d’immenses tempêtes de sable la recouvrent.

Quant à l’étoile principale du Scorpion, les astrophysiciens la classent dans la catégorie des étoiles supergéantes, et sa couleur dominante est un subtil mélange de jaune d’or et d’orange.

Toujours basse sur l’horizon en Europe, Antarès subit fortement les effets de la turbulence atmosphérique et jette des éclats furieux qui vont du rouge vif au vert clair au gré de sa scintillation.

D'autres conjonctions se produisent tout au long du mois à venir, retrouvez-les en détails dans Le Guide du Ciel 2010-2011

Le dimanche 19 septembre au soir, trois heures après le départ du Soleil, Jupiter domine l’horizon sud-est d’une trentaine de degrés, elle est donc très facile à repérer.

Si vous en possédez, vous pouvez pointer des jumelles vers elle et découvrir, à moins d’un degré, le petit point d’Uranus.

Dans les jours prochains, lorsque la Lune se sera éloignée, vous pourrez tenter de distinguer Uranus à l’œil nu à côté de Jupiter dans un ciel noir.

Le mardi 28 septembre, deux heures avant le jour, les Pléiades et la Lune gibbeuse décroissante sont réunies dans un cercle de deux degrés de diamètre.

Il faut se tordre le cou pour les admirer puisqu’elles surplombent l’horizon sud de plus de 65°, notre satellite jouant le rôle d’un luminaire qui inonde le monde nocturne de sa lumière bleutée.

Profitez-en pour faire une petite promenade au clair de Lune si vous habitez à la campagne car cet éclairage sélène métamorphose les paysages familiers et crée une ambiance délicieuse.

Pour distinguer les Sept sœurs à l’œil nu, cachez la gibbosité lunaire avec un doigt ou une branche d’arbre.

Le Guide du Ciel 2010-2011
352 pages
Plus de 420 cartes, schémas, gravures et photographies en couleur
Prix TTC : 29 euros
ISBN : 978-2-9513365-6-8
Disponible ; commandez-le ici

Carnets de nuits
160 pages
Carte de couverture mate, cahiers cousus et collés
Prix public TTC : 16 euros
ISBN : 978-2-9513365-5-1
Disponible ; commandez-le ici

ISLANDE, le sublime et l'imaginaire
Photographies de Patrick Desgraupes
Textes d'Einar Mar Jonson et de Guillaume Cannat
Hermé/La Martinière
176 pages (format 28 x 29 cm)
Prix TTC : 38 euros
ISBN : 978-2-86665-411-5
Disponible en librairie

Vous avez peut-être suivi la construction haletante de mon nouveau télescope de 760 mm de diamètre ; sinon, cliquez ici pour aller consulter la page qui relate cette belle aventure en détails.

J’ai fait la première lumière de ce magnifique et imposant télescope durant l’été et, que ce soit sur la Lune, la planète Jupiter ou les objets du ciel profond, ses résultats sont réellement impressionnants, même pour quelqu'un qui, comme moi, observe le ciel depuis plus de 30 ans !

Les nombreux observateurs qui ont déjà eu le plaisir de scruter les astres avec ont été enthousiasmés par la qualité de l’optique, par le contraste des images planétaires et lunaires, par l’incroyable luminosité des plus petits objets du ciel profond et par les couleurs parfaitement perceptibles dans nombre de nébulosités.

Je ne pouvais pas en rester là et conserver jalousement ce superbe instrument pour mon seul plaisir. J’ai donc décidé de vous ouvrir la possibilité d’organiser une soirée d’observation dans votre site préféré avec l’un des plus gros télescopes amateurs d’Europe.

Vous pouviez déjà observer le ciel avec quelques rares télescopes de grands diamètres en vous déplaçant dans des observatoires professionnels ou amateurs. Vous avez à présent la possibilité de faire venir l’un de ces « géants » sur votre site habituel d’observation pour redécouvrir un ciel dont vous connaissez déjà le potentiel et, éventuellement, faire des comparaisons en temps réel avec vos propres instruments.

Pour en savoir plus, cliquez ici ou sur l'image voisine...

La lettre n° 44 vous présentait l'image de l'étoile filante que j'ai eu la chance de photographier durant la nuit du 12 au 13 août.

Vous avez été nombreux à me demander plus de détails techniques sur la prise de vue, je reviens donc sur cette superbe nuit des Perséides passée sous le ciel de Valdrôme lors des rencontres Astrociel 2010.

Il s'agissait de la première nuit que je passais sous un beau ciel bien noir avec mon nouveau télescope de 760 mm. Je n'avais donc pas pris le temps d'installer également la monture motorisée AstroTrac que j'utilise habituellement pour réaliser des panoramas célestes nocturnes.

Ne pouvant pas faire de poses longues car je voulais conserver un aspect pratiquement ponctuel aux étoiles, j'ai décidé d'enchaîner les poses courtes de 20 secondes en augmentant la sensibilité du capteur de mon boîtier photographique Nikon D700 à 3200 ISO et en travaillant avec l'objectif 14-24 mm à 2,8 à pleine ouverture et à grand champ, ce qui permet d'aller d'un horizon à l'autre en trois images seulement.

J'avais déjà réalisé une série de 20 poses de 20 secondes avec mon télescope au premier plan et je venais de commencer une série de 20 nouvelles poses vers le zénith, lorsqu'un somptueux bolide a violemment illuminé le paysage.

Comme vous pouvez le voir sur la première image ci-contre, j'ai eu la chance que ce bolide soit parfaitement cadré et se produise intégralement durant l'une des poses. L'image que je vous ai présentée en août était un assemblage de cette image avec une des images de premier-plan.

Pour composer l'image qui ouvre cette lettre, j'ai ajouté la troisième partie du panorama pour suivre la Voie lactée d'un horizon à l'autre. Cela permet de distinguer une autre étoile filante au-dessus de la galaxie d'Andromède, et d'assister au lever des Pléiades.

J'ai mis l'image une fois dans un sens, une fois dans l'autre (ci-contre) car, pour bien faire, il faudrait s'allonger par terre et tenir l'image au-dessus de soi pour se retrouver dans la situation réelle d'observation !

Les amateurs de technique pourront comparer ce panorama avec celui de l'été dernier pris au même endroit. L'assemblage des trois poses de 20 secondes à 3200 ISO sans entraînement ne donnent pas un résultat aussi puissant que celui de trois poses suivies de 2 minutes à 640 ISO, mais elles sont bien plus faciles à réaliser et nécessitent moins de matériel.

C'est donc une technique à explorer et je vous en reparlerai dans une prochaine lettre...

La Lune se lève derrière la colonne de fumée de l'incendie qui a détruit près de 3000 hectares la semaine dernière juste à côté de chez moi.



Le château d'Assas et la Lune devant l'incendie. Sur l'image panoramique, on voit Jupiter qui émerge de la fumée loin sur la droite.



Un peu plus tard dans la nuit, la Lune éclaire le ciel en bleu, mais l'incendie le badigeonne de fumée rouge.

Vous avez sans doute entendu parler de l'énorme feu qui a dévasté près de 3000 hectares la semaine dernière dans l'Hérault. Malheureusement, il s'est produit juste à côté de chez moi, détruisant des paysages magnifiques dans lesquels j'avais l'habitude d'aller courir et observer le ciel. Je rappelle ci-dessous un texte que j'avais rédigé l'année dernière pour l'édition 2010 de mon livre Le ciel à l'œil nu et qui acquiert de nouveau une réalité désolante :

« Dans ma région, le sud de la France, deux sons signalent chaque année l’arrivée de la saison chaude. Le crissement des cigales est le premier ; naturel, agréable dans un premier temps, puis rapidement entêtant, il accompagne inéluctablement la chaleur tout au long de l’été. Le second est d’origine humaine et il se manifeste plusieurs fois par jour lorsque les petits avions jaunes de la sécurité civile traversent l’azur dans un ronflement aigu. Il est difficile de les entendre sans éprouver une légère appréhension et sans guetter leur éloignement, car lorsque leur vrombissement revient en boucles, cela ne présage rien de bon.

Ces dernières années, quatre feux ont éclaté à moins de deux kilomètres de chez moi ; chaque fois, des hectares de forêt et de garrigue sont partis en fumée. Je cours et j’observe régulièrement le ciel dans ces bois et, en certains points, j’ai l’impression à présent d’être sur une planète étrangère, au sol de suie, peuplée d’arbres noirs et squelettiques. L’éclairage de la Lune sur ces paysages est irréel, angoissant, et il m’entraîne toujours dans des songes d’ailleurs, sous la lumière nauséeuse de mondes offerts à la pâle lueur d’étoiles mourantes. »

Lundi 30 août, le feu s'est déclaré dans l'après-midi et, poussé par un vent violent, il a progressé à toute vitesse vers le sud. Le soir venu, je suis allé faire des photos de loin et capter le visage ensanglanté du quartier lunaire à son lever.

Au premier plan de l'image du milieu, vous pouvez voir le château d'Assas qui sert souvent d'avant-plan pour mes photographies de paysages astronomiques.

Hier, les premiers gros orages sont arrivés et ont enfin humidifié une nature desséchée par des semaines de chaleur.

Je tenais absolument à vous présenter quelques images de l'éclipse totale de Soleil réalisées par Jean-Marc Lecleire à l'île de Pâques le 11 juillet dernier.

Jean-Marc est parti à l'autre bout du monde avec près de 70 kg de matériel et il en a rapporté des centaines de photographies du phénomène. Travaillant durant plusieurs semaines pour assembler plusieurs dizaines d'images de notre étoile et de sa chevelure d'argent, il est parvenu à produire un gros plan de la couronne basse et un plan large d'une qualité exceptionnelle.

Je peux écrire que, à ma connaissance et si l'on écarte les résultats hors normes de Miloslav Druckmüller, l'image de la basse couronne de Jean-Marc est la meilleure jamais réalisée par un astronome amateur.

Je vous engage vivement à aller sur le blog de Jean-Marc pour découvrir le travail insensé qu'a représenté l'assemblage de ces images et leurs traitements avec le logiciel Photomatix mis au point par Jacques Joffre.

Toutes mes félicitations, et rendez-vous en novembre 2012 pour la prochaine éclipse totale de Soleil...

Vous pouvez prendre contact avec moi (mettre @ à la place de #) si vous désirez organiser une conférence.

Mardi 19 octobre à 20 h 30 : Montpellier (Planétarium Galilée)
Vendredi 12 novembre à 17 h : Rencontres du Ciel et de l'Espace (Paris-La Villette)...

Explorez les sites Web des astrophotographes dont je présente des images dans certaines de mes conférences : http://www.leguideduciel.net/ressources/images.php

La chronique Bleu nuit que j'enregistre avec Philippe Moity sur France Bleu Hérault est diffusée le samedi matin vers 10 h 40 m et le dimanche vers 16 h 50 m.

L'habillage sonore est joyeusement décalé – extraits de vieux films et de séries de science-fiction –, mais le contenu est sérieux (enfin, essaie de l'être !). Chaque semaine, je signale un ou deux phénomènes à observer dans les jours qui vont suivre et je réponds aux questions de base et d'actualité de Philippe Moity.

Si vous n'habitez pas à portée d'antenne de cette station, vous pouvez néanmoins écouter Bleu nuit durant les sept jours qui suivent sa diffusion en vous rendant sur le site de France Bleu Hérault dans le menu France Bleu à la demande ; d'après les statistiques de France Bleu, vous êtes plus de 2 000 à le faire chaque mois, un grand merci de votre intérêt fidèle :

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?nr=8dc942202aa447a40487975f8cb0ca20

Des infos sur...

Activité solaire et phénomènes atmosphériques et astronomiques
Spaceweather est LE site qu'il faut avoir dans son carnet d'adresse et auquel il faut rendre visite chaque jour pour voir les dernières images du ciel prises par des amateurs sur toute la planète et des infos chiffrées sur l'activité de notre étoile.
http://www.spaceweather.com/

Dernières comètes découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec tous les éléments orbitaux et les éphémérides des comètes potentiellement observables.
http://cfa-www.harvard.edu/iau/Ephemerides/Comets/index.html

Dernières novae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières novae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/Headlines.html

Dernières supernovae découvertes
Le site de l'Union astronomique internationale (UAI ou IAU) avec les éphémérides des dernières supernovae.
http://www.cfa.harvard.edu/iau/lists/RecentSupernovae.html

Éclipses de Lune et de Soleil
Les cartes et les horaires des prochaines éclipses observables dans le monde, avec des liens vers les sites de Fred Espenak (NASA) et de l'Imcce pour plus de détails.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/eclipses.php

Éphémérides quotidiennes des planètes
En complément de la version papier du Guide du Ciel, je mets à votre disposition chaque mois des fichiers au format pdf avec les éphémérides quotidiennes des planètes pour 45° de latitude nord et 0° de longitude.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Occultations d'étoiles par des astéroïde
Le site tenu à jour par Éric Frappa, vous dit tout ce qu'il faut savoir pour observer ces phénomènes.
http://www.euraster.net/

Phases de la Lune de 2002 à 2010
L'un des innombrables fichiers qui me servent à préparer la version papier du Guide du Ciel.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Phénomènes astronomiques jour par jour
Cette page vous donne accés à tous les phénomènes publiés dans le Guide du Ciel depuis le mois de mai 2001.
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php

Trajectoires des satellites de Jupiter
Les courbes mensuelles des satellites galiléens de Jupiter.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/satellites.php

Trajectoires des satellites de Saturne
Les courbes mensuelles des principaux satellites de Saturne.
http://www.leguideduciel.net/ephemerides/satellites.php

Découvrez des extraits des pages "Les phénomènes astronomiques au jour le jour" du Guide du Ciel :
http://www.leguideduciel.net/indexgc.php